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Recherche porcine

Impact de l’alimentation et de la conduite des mâles entiers sur la prévalence des odeurs indésirables dans la viande porcine : une étude de cas en élevages de production 

L'étude examine l'impact de l'alimentation et de la conduite des mâles entiers sur la prévalence des odeurs indésirables dans la viande porcine, en se basant sur une étude de cas menée dans des élevages de production.

Résumé du poster de Maëliss Brunon, Responsable Expertise INNOZH Santé & Productions animales, aux Journées de la Recherche Porcine 2024.

Co-auteurs : Eric Pagot (INNOZH), Mireille Peuziat (JEAN HENAFF), Mathilde Venet (JEAN HENAFF), Baptiste Legaud (EVEL’UP)

Remerciements à la Région Bretagne et Valorial pour leur accompagnement dans la réalisation du projet FINARBED, initié et piloté par le Groupe Jean Hénaff.

Résumé du poster : 

L’étude s’est penchée sur les moyens de mettre fin à la castration douloureuse des porcelets mâles tout en préservant la qualité de la viande. En effet, la castration est principalement effectuée pour prévenir les odeurs désagréables de la viande.

Cette recherche a impliqué l’examen de 1070 porcs mâles entiers provenant de deux exploitations en Bretagne, France. Plusieurs ingrédients alimentaires visant à enrichir la teneur en fibres ont été testés, notamment l’inuline, les épi de maïs et les fibres de bois. Malheureusement, les résultats ont montré que ces matières premières n’ont pas réussi à réduire de manière significative les niveaux d’odeurs chez les porcs mâles entiers. Cependant, une différence notable a été observée en faveur du groupe témoin pour les épi de maïs.

En ce qui concerne les paramètres environnementaux, les niveaux d’humidité moyens et de dioxyde de carbone sont restés relativement constants entre les différents groupes. Toutefois, des différences significatives ont été notées pour la température moyenne et les concentrations d’ammoniac (NH3), favorables au groupe témoin. 

En effet, des températures et des concentrations d’ammoniac plus élevées ont été observées pour le lot 2 et le groupe test, ce qui a été corrélé à un pourcentage plus élevé d’animaux présentant des niveaux d’odeur moyens et forts. Ces résultats soulignent ainsi un potentiel impact de la température et des concentrations d’ammoniac sur la prévalence des porcs mâles entiers malodorants.

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